Les clubs hybrides prennent leur place dans les sacoches des joueurs de golf. La plupart des professionnels les adoptent. Les amateurs s’en entichent.
Amalgame impeccable entre fer et bois, les hybrides ont substitué les fers 3 et 4. Les créateurs les ont créés plus longs, souples et commodes. Appelé rescue ou sauvetage pour son aptitude à sortir de tous les soucis. Les lofts des clubs hybrides modulent de 17 à 25°.
Atout de l’hybride
L’avantage est de faire une balle dans les espaces difficiles tels que le rough en gardant, d’une part, la minutie du fer et, de l’autre, le centre de gravité incliné du bois. Ainsi, le club permet de pratiquer des balles sur l’ensemble des parties de jeu en remplaçant naturellement les fers du genre long ainsi que des bois courts. Cette classe de club de golf, créée en 1999, à la mode en 2002, se distingue par son volume allégé, son shaft plus écourté, sa semelle plus arrondie et un centre de gravité inférieur pour se conformer à diverses situations de jeu et permettant au golfeur de lever et de débarrasser aisément la balle.
Jouer sur un terrain humide
Si l’on joue sur un terrain humide, l’hybride est intéressant grâce à sa large semelle qui va coulisser sur le sol. Les grattes seront évitées. Son atout : il est moins onéreux qu’un bois de parcours. Sur les hybrides new tech, on peut transformer l’ouverture de la face de plus ou moins 1,5 °. On a quasiment la sensation de disposer d’un bois 3 en main. On remporte sans problème 10 mètres par rapport aux modèles précédents. Quelques-uns sont commercés avec une clé.
Tout autour du green, on peut aussi employer l’hybride tel un chipper. La méthode se rapproche du putting. Il faut juste se tenir plus verticalement à l’adresse, porter le club le plus court, mettre la balle au centre des pieds et réaliser un petit geste de balancier.