La position du golfeur reste vitale car elle spécifie la stratégie de son swing. Elle influe sur le trajet du club, la face d’attaque, le repère de la face de club au choc ainsi que le sweet spot.
La posture dépend de l’état de la vision et de l’ouïe, de l’articulation des dents, des supports au sol et du dynamisme musculo-squelettique. Les lapsus les plus généralement perçus restent le dos trop arrondi ou tendu et les genoux excessivement rigides ou pliés. Si le coach rectifie avec facilité son élève, il s’avère plus ardu de le corriger en personne.
Parlons du right core rotation
Les épaules et le bassin sont braqués vers la verticale tandis que les pieds demeurent en squares et la masse du corps devient en surpoids sous le talon. Intérieur-extérieur seront les parcours de club au milieu de la balle. Ces mouvements de base de la physique agissent sur les traversées de balle. Elles provoquent habituellement des dédommagements avec des rétrogressions de pieds ou des rectifications via les poignes de la face de club à l’effet. Elles proviennent des tensions extrêmes dans différents muscles dorsaux. Elles engendrent un trouble psychique afin de contrer les mauvais trajets de la balle provoquant rapidement des douleurs au dos ou aux tendinites et un déboitement du bras.
Les vices de pose dans le domaine frontal
Une épaule droite exagérément courte : en principe, elle doit être faiblement plus basse que celle de gauche à cause de la main droite sous la main gauche à hauteur du grip. Mais parfois, cette obliquité parait fort importante et un bassin plus élevé d’un angle relatif à l’autre signale généralement un réel déséquilibre des jambes. Si le professeur de golf ne réussit pas à redresser un de ces problèmes posturaux aux moyens d’exercices conscients ou de fitness, c’est que la personne souffre assurément d’un symptôme de déficience postural à traiter en posturothérapie.